Le site sportwebgolf.com https://sportwebgolf.com Fri, 20 Jun 2025 17:52:38 +0000 fr-FR hourly 1 https://sportwebgolf.com/wp-content/uploads/2025/05/cropped-icon-32x32.png Le site sportwebgolf.com https://sportwebgolf.com 32 32 Comment trouver les bons profils quand on recrute en PME : méthodes concrètes et outils efficaces https://sportwebgolf.com/comment-trouver-les-bons-profils-quand-on-recrute-en-pme-methodes-concretes-et-outils-efficaces/ https://sportwebgolf.com/comment-trouver-les-bons-profils-quand-on-recrute-en-pme-methodes-concretes-et-outils-efficaces/#respond Fri, 20 Jun 2025 17:26:41 +0000 https://sportwebgolf.com/?p=100 Read More]]> Recruter en PME, c’est pas la même histoire

Quand on bosse dans une petite boîte, on le sait : chaque recrutement compte. Il n’y a pas cinquante étages pour rattraper une erreur. Pas de RH planqué derrière un process, pas de marque employeur qui fait le boulot toute seule. Juste vous, une annonce, et une envie urgente de trouver la bonne personne – pas juste « un profil intéressant ».

Et là, franchement, c’est pas toujours simple. Le marché est tendu, les bons profils sont très sollicités, et les candidats, eux aussi, deviennent de plus en plus exigeants. Si vous cherchez à publier une annonce qui touche vraiment les talents de votre région, allez jeter un œil à https://www.midi-emploi.fr : c’est simple, efficace, et orienté PME/TPE. Rien à voir avec les mastodontes impersonnels.

Premier point clé : savoir qui vous cherchez (vraiment)

Trop souvent, on se lance dans le recrutement avec une idée vague. « Quelqu’un de polyvalent », « autonome », « avec un bon relationnel ». OK, mais ça veut dire quoi, concrètement ? Prenez une heure, pas plus. Posez-vous avec un café, ouvrez une page blanche et écrivez noir sur blanc ce que vous attendez *vraiment* du poste. Pas ce que vous espérez dans l’idéal, mais ce qui est indispensable pour que la personne soit utile, rapidement.

Un truc qui aide ? Imaginer la journée type de la personne. Est-ce qu’elle sera au téléphone la moitié du temps ? Est-ce qu’elle bossera en solo ou en binôme ? Est-ce qu’elle doit savoir improviser ou suivre une procédure à la lettre ? Ce sont ces détails-là qui vous permettront ensuite d’écrire une annonce qui ne ressemble pas à toutes les autres.

Soignez votre annonce : on recrute aussi avec ses mots

L’annonce, c’est pas juste une formalité. C’est votre vitrine. Si vous mettez « recherche commercial dynamique pour développer notre portefeuille client », vous allez attirer exactement les mêmes profils que 200 autres boîtes. Soyez spécifique, parlez vrai. Mentionnez votre environnement, votre style de management, vos clients.

Par exemple : « On travaille surtout avec des artisans et PME du Sud-Ouest, et on préfère le contact direct aux grandes présentations PowerPoint. » Rien que ça, ça filtre les profils – dans le bon sens.

Où publier : viser juste plutôt que large

Pas besoin de tout balancer sur 10 plateformes. Ce qui compte, c’est la pertinence. Quelques pistes utiles :

  • Sites régionaux comme https://www.midi-emploi.fr : plus ciblés, moins saturés, souvent plus efficaces.
  • Groupes Facebook ou LinkedIn locaux : pour des profils de terrain, ça peut marcher mieux qu’un jobboard national.
  • Votre propre réseau : un post bien rédigé sur LinkedIn, relayé par vos collègues, ça touche souvent des profils de qualité.

Le tout, c’est d’adapter votre canal à la réalité du poste. Recruter un technicien terrain ? Mieux vaut le bouche-à-oreille pro que Welcome to the Jungle.

Filtrer vite et bien (sans passer à côté des pépites)

Vous avez reçu 43 CV. Vous en lisez 5. Et là, c’est la galère : comment départager ? Petite astuce toute bête mais super efficace : demandez une mini mission dans l’annonce. Un truc simple : « Envoyez-nous une présentation rapide de votre dernière mission », ou « Décrivez une situation où vous avez géré une urgence ». Ceux qui répondent sérieusement montrent déjà qu’ils sont dans le bon état d’esprit.

Et franchement, oubliez les lettres de motivation copiées-collées. C’est 2025. On veut du concret.

Les bons outils pour gérer sans s’épuiser

Même sans recruteur attitré, il existe des outils légers qui vous feront gagner du temps (et de la clarté) :

  • Trello ou Notion pour suivre vos candidats en mode pipeline
  • Google Forms pour préqualifier automatiquement avec quelques questions ciblées
  • ChatGPT (oui !) pour reformuler une annonce ou structurer un entretien type

Pas besoin d’un ATS à 400€/mois. L’idée, c’est de structurer un minimum pour ne pas décider « à l’instinct » le jour J.

Dernier conseil : n’attendez pas le mouton à cinq pattes

Ce profil parfait que vous imaginez ? Peut-être qu’il existe, mais il bosse déjà ailleurs. Par contre, un bon profil motivé, qui peut monter en compétences, ça oui, ça se trouve. Et souvent, c’est un bien meilleur pari à moyen terme.

Alors posez-vous cette question simple à chaque entretien : *Est-ce que je me vois travailler avec cette personne, tous les jours, pendant 6 mois ?* Si la réponse est « oui », c’est que vous tenez peut-être votre pépite.

Bon recrutement !

]]>
https://sportwebgolf.com/comment-trouver-les-bons-profils-quand-on-recrute-en-pme-methodes-concretes-et-outils-efficaces/feed/ 0
Formation professionnelle : comment choisir un organisme fiable pour monter en compétences https://sportwebgolf.com/formation-professionnelle-comment-choisir-un-organisme-fiable-pour-monter-en-competences/ https://sportwebgolf.com/formation-professionnelle-comment-choisir-un-organisme-fiable-pour-monter-en-competences/#respond Fri, 20 Jun 2025 11:23:23 +0000 https://sportwebgolf.com/formation-professionnelle-comment-choisir-un-organisme-fiable-pour-monter-en-competences/ Read More]]> Se former, c’est devenu incontournable. Que ce soit pour évoluer dans son métier, changer complètement de voie ou juste rester à jour, on n’a plus trop le choix. Le monde bouge vite, les métiers aussi, et franchement, rester statique, c’est le meilleur moyen de se faire dépasser. Mais alors, la vraie question c’est : comment choisir un organisme de formation qui tienne la route ? Pas juste une boîte qui aligne des slides et encaisse les financements… un vrai partenaire de montée en compétences.

Et là, pas de recette miracle, mais quelques réflexes utiles. J’ai moi-même testé plusieurs formats – du présentiel à Lyon dans un centre assez correct, jusqu’à des modules 100% en ligne avec des retours… disons mitigés. Pour commencer, allez jeter un œil à des plateformes comme https://www.cap-entreprises.com : elles recensent pas mal d’acteurs sérieux et donnent un bon aperçu de ce qu’il se fait en ce moment. On peut y voir les domaines proposés, les types de financement compatibles, les retours d’expérience… C’est un point de départ utile avant de se lancer.

1. Creusez la promesse de l’organisme

Chaque organisme de formation vous vend un avenir meilleur. OK, mais concrètement ? Ce qu’il faut regarder en premier, c’est ce que vous allez réellement apprendre. Pas juste les titres de modules. Est-ce que les compétences visées sont utiles dans votre quotidien pro ? Est-ce que c’est actionnable dès le lendemain ? Par exemple, une formation en gestion de projet qui vous enseigne uniquement le cycle en V… bof. Si elle inclut du no-code, du Kanban, et même une vraie simulation d’équipe, là ça commence à devenir intéressant.

2. Vérifiez l’expérience des formateurs

C’est un point que beaucoup négligent, et pourtant, ça change tout. Un formateur qui a 20 ans d’expérience terrain dans votre domaine, ça n’a rien à voir avec un jeune diplômé qui récite le programme. J’ai eu une formation en marketing digital où la formatrice nous sortait des cas clients vécus : e-commerce, dropshipping, niches B2B… On était captivés. À l’inverse, une autre fois, le formateur lisait ses slides, sans jamais répondre aux questions. Frustrant au possible.

3. Lisez les avis… mais pas que

Oui, les avis Google ou Trustpilot, c’est utile. Mais ce n’est pas suffisant. Essayez de discuter avec d’anciens apprenants. LinkedIn peut être un bon levier. Regardez aussi ce que deviennent les gens après la formation : ont-ils vraiment progressé ? changé de job ? monté leur boîte ? Les résultats parlent souvent plus que les étoiles sur une fiche.

4. Posez la question du suivi post-formation

Souvent, on sort d’une formation super motivé… et puis, quelques semaines plus tard, on bloque. Et là, plus personne. Un organisme sérieux doit proposer un suivi : forum privé, sessions de coaching, mises à jour du contenu… Même un simple groupe WhatsApp peut faire la différence. Posez la question avant de signer.

5. Renseignez-vous sur les financements disponibles

CPF, OPCO, plan de développement des compétences, financement personnel… Tout le monde n’a pas accès aux mêmes aides. Un bon organisme saura vous orienter et même monter les dossiers avec vous. Attention : certains gonflent les prix juste parce que “c’est financé”. C’est un vrai piège. Comparez les tarifs à contenu équivalent, c’est parfois édifiant.

6. Évaluez la pédagogie et le rythme

Certains apprennent mieux en vidéo, d’autres en présentiel, d’autres encore en mode projet. Perso, j’ai besoin de manipuler, d’échanger, sinon j’oublie tout. Demandez un extrait de cours, une démo ou même une première session gratuite. Beaucoup d’organismes le proposent, et ça permet de voir si le courant passe. Le rythme aussi est crucial : des sessions de 4h en visio, c’est l’assurance de perdre la moitié de l’audience.

En résumé ? Allez-y, mais pas à l’aveugle

La formation pro, c’est un vrai levier de carrière, mais c’est aussi un investissement. En temps, en énergie, parfois en argent. Alors autant le faire avec les bons partenaires. Prenez le temps de comparer, d’appeler, de poser des questions. Fiez-vous à votre instinct, mais aussi aux faits. Et surtout, choisissez une formation qui vous ressemble, pas celle qu’on vous recommande “parce que tout le monde la fait”.

Vous avez déjà eu une mauvaise surprise en formation ? Ou au contraire, un organisme qui a tout changé pour vous ? Ce serait super intéressant d’avoir vos retours.

]]>
https://sportwebgolf.com/formation-professionnelle-comment-choisir-un-organisme-fiable-pour-monter-en-competences/feed/ 0
Portage salarial ou création d’entreprise : comment faire le bon choix selon votre profil pro https://sportwebgolf.com/portage-salarial-ou-creation-dentreprise-comment-faire-le-bon-choix-selon-votre-profil-pro/ https://sportwebgolf.com/portage-salarial-ou-creation-dentreprise-comment-faire-le-bon-choix-selon-votre-profil-pro/#respond Wed, 18 Jun 2025 10:25:29 +0000 https://sportwebgolf.com/portage-salarial-ou-creation-dentreprise-comment-faire-le-bon-choix-selon-votre-profil-pro/ Read More]]> Vous avez une idée, une compétence forte, ou juste cette envie d’indépendance qui vous titille depuis des mois ? Mais voilà, vient le moment fatidique : vous lancez comment ? Création d’entreprise ? Portage salarial ? C’est le genre de dilemme qui peut bloquer un projet avant même son décollage.

Franchement, il n’y a pas de réponse universelle. Tout dépend de votre profil, de votre appétit pour le risque, de vos objectifs. Et c’est justement ce qu’on va décortiquer ici. Parce que choisir entre ces deux options, c’est pas juste une histoire de statut administratif – c’est un vrai choix de vie pro. Si vous voulez creuser plus loin côté portage, je vous conseille d’aller jeter un œil ici : https://www.portage-emploi.com. C’est clair, bien foutu, et ça permet de mieux visualiser le terrain.

Création d’entreprise : liberté totale, mais responsabilités XXL

Créer sa boîte, c’est un peu comme construire sa maison à la main. Vous choisissez tout : les fondations, les matériaux, l’agencement. Mais vous portez aussi tout sur vos épaules. Gestion comptable, statuts juridiques, prospection, assurance, trésorerie… Personne ne vous attend avec un tapis rouge.

Et pourtant, pour certains profils, c’est le choix naturel. Les développeurs qui veulent monter une app en side project, les coachs business qui veulent proposer leur propre méthode, ou encore ceux qui sortent d’un job salarié et qui ont déjà un carnet d’adresses bien fourni. Si vous avez un esprit builder et que la paperasse ne vous effraie pas trop, la création d’entreprise peut être super stimulante.

Mais faut être lucide : il y a un seuil de rentabilité à atteindre. Et selon votre activité, il peut arriver tard. J’ai vu des consultants bosser 8 mois sans se verser un centime, juste pour amortir les charges fixes. Pas de parachute. Ça forge, mais faut le savoir.

Portage salarial : sécurité + autonomie, mais pas d’effet levier

Le portage salarial, c’est un peu la combinaison du confort salarié et de l’autonomie freelance. Vous vendez vos missions comme un indépendant, mais vous êtes salarié de la société de portage. Du coup, vous cotisez pour la retraite, vous avez droit au chômage, et vous n’avez pas à créer de structure. C’est clean, rapide à mettre en place, et parfait si vous testez un marché ou si vous n’avez pas envie de gérer l’administratif.

Par exemple ? Une formatrice en soft skills qui veut bosser avec plusieurs clients B2B sans se taper la création d’une SASU. Ou un développeur en mission longue chez un client qui veut pas d’auto-entrepreneur. Dans ces cas-là, le portage c’est pratique, carré, et ça laisse du temps pour bosser sur son cœur de métier.

Le revers ? Pas d’optimisation fiscale possible. Pas d’équipe à monter. Pas de marque à faire grandir. Vous êtes un solo. Et si vous avez envie de scaler, de recruter, de faire du CA à six chiffres ou plus, ça atteint vite ses limites.

Alors, comment choisir ? Voici le filtre simple

Posez-vous ces trois questions :

  • Est-ce que je veux tester une activité avant de me lancer à fond ? → Portage
  • Est-ce que j’ai une vision d’entreprise, un modèle à développer, des ambitions de croissance ? → Création
  • Est-ce que j’ai peur de la paperasse, ou je veux garder des droits sociaux solides ? → Portage

Et puis regardez aussi votre horizon de temps. Le portage, c’est parfait à court ou moyen terme. Le temps de valider un marché, de sécuriser une première clientèle. Mais pour construire un actif, créer de la valeur, revendre un jour peut-être… il faut passer par la case entreprise à un moment.

Concrètement, qui choisit quoi ?

Pour vous donner une idée plus concrète :

  • Les consultants IT ou RH choisissent souvent le portage pour les missions longues.
  • Les freelances créa (graphistes, rédacteurs, UX) préfèrent créer leur micro-entreprise, question de coût et de simplicité.
  • Les formateurs alternent parfois entre portage et entreprise selon les clients (privés ou publics).
  • Les solopreneurs ambitieux (produits digitaux, formations, SaaS) créent très vite une société pour scaler.

Et bien sûr, il y a ceux qui commencent en portage… puis basculent vers une création quand leur activité prend. C’est une vraie option hybride, et ça fonctionne plutôt bien.

Ce qu’il faut retenir

Choisir entre portage salarial et création d’entreprise, ce n’est pas une décision définitive. C’est un point de départ. L’important, c’est de choisir le format qui colle à votre moment de vie, à vos besoins immédiats, et à ce que vous pouvez absorber mentalement.

Perso, je trouve que le portage est une super rampe de lancement. Mais si vous avez une vision claire et que vous êtes prêt à construire, alors foncez sur la création. Rien ne remplace cette sensation d’avoir son propre véhicule.

Alors, vous êtes plutôt ceinture de sécurité ou conduite sportive ?

]]>
https://sportwebgolf.com/portage-salarial-ou-creation-dentreprise-comment-faire-le-bon-choix-selon-votre-profil-pro/feed/ 0
Les meilleurs outils financiers pour piloter une PME en 2025 https://sportwebgolf.com/les-meilleurs-outils-financiers-pour-piloter-une-pme-en-2025/ https://sportwebgolf.com/les-meilleurs-outils-financiers-pour-piloter-une-pme-en-2025/#respond Tue, 17 Jun 2025 08:50:31 +0000 https://sportwebgolf.com/les-meilleurs-outils-financiers-pour-piloter-une-pme-en-2025/ Read More]]> Gérer une PME aujourd’hui, franchement, c’est devenu un sport de haut niveau. Les marchés bougent vite, les marges sont sous pression, et l’accès au financement reste parfois… disons-le, acrobatique. Pour tenir la barre, il ne suffit plus d’avoir un tableur Excel bricolé le dimanche soir. Non. Il faut des outils costauds, précis, capables de vous donner une vraie visibilité sur votre boîte.

J’ai passé pas mal de temps à comparer, tester, discuter avec d’autres dirigeants, et même à me casser les dents sur certains logiciels. Alors aujourd’hui, je vous partage une sélection d’outils financiers qui, selon moi, font vraiment la différence pour piloter une PME en 2025. Et si vous cherchez aussi à creuser sur le sujet de la gestion financière d’entreprise, je vous conseille de jeter un œil sur https://financeinformant.com : c’est une vraie mine d’informations pratiques.

1. QuickBooks : le grand classique qui tient la route

Oui, je sais, on en entend parler partout. Mais honnêtement, QuickBooks reste une valeur sûre. Interface claire, automatisations intelligentes, synchronisation bancaire fluide… Pour une PME qui cherche à avoir un vrai suivi de sa compta sans se prendre la tête, c’est top. Le suivi des factures et des paiements est particulièrement bien fichu. En 2025, ils ont encore amélioré leur module de prévision de trésorerie, qui devient carrément utile quand on commence à anticiper des pics ou creux de cash.

2. Pennylane : l’outil français qui monte

Alors là, franchement, je suis bluffé. Pennylane, c’est un peu la Rolls de la gestion financière intégrée. Pensé pour les dirigeants ET les experts-comptables. Ce que j’adore ? La capacité à centraliser la compta, les paiements, les factures fournisseurs, et même les notes de frais. Tout ça avec une interface vraiment agréable (pour une fois qu’un outil de gestion donne envie d’y passer du temps…). Et le service client est réactif. Pour une PME française, ça colle parfaitement aux besoins locaux, notamment au niveau fiscal et social.

3. Agicap : pour maîtriser sa trésorerie au cordeau

Agicap, c’est un peu l’arme secrète des patrons de PME qui veulent dormir tranquille. On parle ici de prévisionnel de trésorerie ultra précis. Vous connectez vos comptes bancaires, vos factures clients et fournisseurs, et vous obtenez une visibilité quasi temps réel sur votre cash à venir. Perso, je trouve que cet outil pousse à la réflexion stratégique : on voit tout de suite les zones à risque. Et en 2025, avec les hausses de taux qu’on subit encore, anticiper son cash devient presque vital.

4. Spendesk : la gestion des dépenses sans prise de tête

Combien de fois on s’est retrouvé à chercher une note de frais perdue dans un mail ? Avec Spendesk, fini les galères. Chaque collaborateur dispose d’une carte virtuelle ou physique avec des plafonds définis, et chaque dépense est immédiatement tracée et catégorisée. Le contrôle budgétaire devient super fluide. Et les équipes financières gagnent un temps fou sur la gestion des justificatifs. En PME, où les équipes finance sont souvent réduites, c’est un vrai soulagement.

5. Synder : la synchronisation comptable multi-plateforme

Si vous vendez en ligne (Shopify, Amazon, Stripe, etc.), Synder peut vous sauver la vie. Il synchronise automatiquement vos transactions avec votre logiciel comptable, en respectant les règles de TVA et de devise. J’ai bossé avec une PME e-commerce qui jonglait avec trois plateformes de vente : sans Synder, c’était la panique. Depuis qu’ils l’ont mis en place, leur comptable dort mieux. Clairement un must-have pour ceux qui brassent du volume sur plusieurs canaux.

6. Finary Business (à surveiller en 2025)

Alors celui-là est encore jeune sur le segment PME, mais je le garde à l’œil. Finary, qu’on connaissait pour le suivi patrimonial personnel, commence à développer des modules pour les dirigeants d’entreprise. L’objectif ? Avoir une vision consolidée de son patrimoine pro et perso. Très pertinent quand on cherche à optimiser sa rémunération, préparer une levée de fonds ou structurer une transmission. Je parie qu’en fin 2025, cet outil va faire parler de lui dans le milieu des entrepreneurs.

Conclusion : choisir les bons outils, c’est (déjà) piloter mieux

Au fond, il n’y a pas de solution universelle. Tout dépend de la taille de votre boîte, de votre secteur, de votre volume de transactions. Mais ce qui est sûr, c’est que piloter une PME sans s’équiper, c’est accepter de naviguer à vue. Et franchement, avec les incertitudes qu’on traverse, c’est un luxe qu’on ne peut plus vraiment se permettre. Prenez le temps de tester, de comparer, d’en parler avec votre comptable. Chaque outil cité ici peut, selon votre situation, vous faire gagner du temps… et parfois même, vous éviter des mauvaises surprises financières.

]]>
https://sportwebgolf.com/les-meilleurs-outils-financiers-pour-piloter-une-pme-en-2025/feed/ 0
Formation continue en entreprise : quelles approches génèrent un vrai ROI aujourd’hui ? https://sportwebgolf.com/formation-continue-en-entreprise-quelles-approches-generent-un-vrai-roi-aujourdhui/ https://sportwebgolf.com/formation-continue-en-entreprise-quelles-approches-generent-un-vrai-roi-aujourdhui/#respond Wed, 04 Jun 2025 10:24:01 +0000 https://sportwebgolf.com/formation-continue-en-entreprise-quelles-approches-generent-un-vrai-roi-aujourdhui/ Read More]]> On va être honnête : la formation continue, tout le monde en parle. C’est devenu un marronnier des RH, un passage obligé dans les plans stratégiques. Mais dans les faits ? Beaucoup d’entreprises injectent des budgets sans jamais vraiment savoir ce que ça rapporte. Et pourtant, quand c’est bien fait, ça peut vraiment changer la donne – autant côté performance que motivation des équipes.

Le problème n’est plus “faut-il former”, mais “comment former intelligemment”

Prenons un exemple tout bête. Une PME industrielle en Vendée a récemment revu toute sa politique de formation. Avant, ils empilaient des modules e-learning génériques. Résultat : 12% de complétion moyenne, zéro impact visible. Ils ont basculé sur du mentorat interne structuré, avec des objectifs clairs par trimestre. En un an ? +18% de productivité sur les lignes, et un turnover divisé par deux sur les équipes concernées. Ça cause, non ?

Et ce n’est pas qu’une histoire de format ou de techno. C’est surtout une question d’approche. À ce propos, je suis tombé récemment sur un exemple inspirant sur https://www.francofffonies.fr, qui montre comment certains secteurs culturels réinventent la formation autour de la collaboration et de la transmission horizontale. Franchement rafraîchissant.

Ce qui fonctionne (vraiment) en 2025

Alors, qu’est-ce qui génère un ROI tangible aujourd’hui ? J’ai identifié 3 approches qui reviennent systématiquement chez ceux qui s’en sortent bien.

1. La formation ancrée dans les objectifs business

Ça peut paraître évident, mais combien de formations sont encore achetées “par habitude” ? Ou parce qu’un manager a un budget à dépenser avant décembre ? Aujourd’hui, les boîtes qui performent alignent chaque parcours avec un KPI précis. Exemple : une boîte SaaS à Lyon a formé ses account managers uniquement sur les objections clients liées aux hausses de prix. Objectif : limiter la perte d’ARR. Bilan ? Une chute de -25% du churn sur les comptes formés.

La clé, c’est de partir du besoin métier – pas du catalogue de formation.

2. Le tutorat et le peer learning

On sous-estime encore beaucoup trop le savoir déjà présent dans l’entreprise. Pourtant, un senior qui coache un junior, ça coûte zéro euro externe… et ça crée une vraie culture de la progression. Chez certains acteurs du retail, ils ont formalisé ça avec des binômes “top vendeur / nouveau”. C’est simple, mais redoutablement efficace : les soft skills passent mieux en live qu’en slide.

Et puis, ça donne du sens. Apprendre avec quelqu’un qu’on respecte, dans un environnement connu, c’est 10 fois plus motivant qu’un module standardisé sur plateforme.

3. La formation “à la demande”, dans le flux du travail

C’est le fameux modèle “just-in-time learning”. En gros, vous apprenez pile au moment où vous en avez besoin. Pas 3 mois après, quand vous avez tout oublié. Slack, Notion ou même des outils comme 360Learning permettent d’injecter du contenu hyper ciblé, en micro-formats, directement dans le quotidien de travail.

Un collaborateur bloque sur un paramétrage CRM ? Il tape un mot-clé, il trouve un tuto de 4 minutes fait par un collègue. Et bim, problème réglé. C’est ça, le ROI : résoudre un blocage en temps réel.

Les erreurs qui plombent votre ROI sans même que vous le voyiez

Parce que oui, il y a aussi des pratiques qui font perdre de l’argent, même si ça ne se voit pas tout de suite.

  • Les formations sans suivi : une session unique, sans mesure d’impact, c’est comme une perf sans diagnostic. Vous injectez, mais vous ne savez pas ce que vous traitez.
  • Les catalogues fourre-tout : ça fait bien dans le plan de formation, mais personne n’y va vraiment. Ou alors sans intention claire.
  • Le décalage générationnel : certains formats sont trop descendants, trop “PowerPoint 2004”. Et les plus jeunes décrochent direct. Perso, j’ai vu des talents brillants zapper des modules entiers juste parce que l’interface était archaïque.

Alors, comment s’y prendre concrètement ?

Si vous deviez repartir de zéro aujourd’hui, je conseillerais de faire simple mais structuré :

  1. Identifiez 3 à 5 priorités business claires pour l’année.
  2. Associez à chacune un besoin en compétence, concret et mesurable.
  3. Regardez ce que vous pouvez mobiliser en interne avant d’acheter dehors.
  4. Testez des formats courts, mesurables, avec feedback systématique.
  5. Impliquez les équipes dans la création de contenu. C’est puissant, et ça coûte moins cher qu’un catalogue LMS premium.

Et surtout, suivez les résultats. Pas juste le taux de participation. Mais des vraies métriques terrain : délais de livraison, satisfaction client, taux de closing… Sinon, c’est du vent.

En conclusion : la formation, c’est du business

On l’oublie parfois, mais la formation continue n’est pas un bonus RH. C’est un levier de performance. Un vrai. Et quand on arrête de la traiter comme un centre de coût, pour la penser comme un investissement piloté, les résultats suivent.

Alors oui, il y a des modes, des tendances, des outils. Mais au fond, ce qui fonctionne reste simple : partir du besoin, impliquer les gens, mesurer les effets. Le reste, c’est du bruit.

Et vous, vous en êtes où dans votre stratégie de formation ?

]]>
https://sportwebgolf.com/formation-continue-en-entreprise-quelles-approches-generent-un-vrai-roi-aujourdhui/feed/ 0
Devenir formateur indépendant : les vraies étapes, les pièges à éviter https://sportwebgolf.com/devenir-formateur-independant-les-vraies-etapes-les-pieges-a-eviter/ https://sportwebgolf.com/devenir-formateur-independant-les-vraies-etapes-les-pieges-a-eviter/#respond Thu, 22 May 2025 06:38:22 +0000 https://sportwebgolf.com/devenir-formateur-independant-les-vraies-etapes-les-pieges-a-eviter/ Read More]]> Franchement, sur le papier, ça fait rêver. Être formateur indépendant, c’est avoir la liberté de choisir ses missions, de bosser sur des sujets qu’on maîtrise (et qu’on aime), et surtout… de ne plus dépendre d’un manager qui comprend rien à votre métier.

Mais soyons clairs : entre l’envie et la réalité, il y a un fossé. Et pas un petit.

Alors voilà un guide honnête, concret, pour vous aider à vous lancer sans tomber dans les pièges classiques. Avec du vécu, des détails qu’on ne lit pas ailleurs, et surtout une vision actionnable.

Étape 1 : validez que vous avez (vraiment) une expertise à transmettre

On ne devient pas formateur juste parce qu’on “a de l’expérience”. C’est un bon début, mais ça ne suffit pas. Ce qui compte, c’est :

Est-ce que votre savoir résout un vrai problème chez des gens prêts à payer ?

C’est là la clé. J’ai vu des pros ultra-calés galérer à remplir une salle, parce qu’ils formaient sur un sujet trop flou ou trop “sympa” mais pas indispensable. À l’inverse, un ancien manager logistique que j’ai croisé à Lyon (en 2023, lors d’un salon pro) cartonnait avec une formation hyper pointue sur l’optimisation de flux dans les entrepôts. C’était pas sexy, mais diablement utile. Résultat : 15 jours de formation par mois, carnet plein six mois à l’avance.

Étape 2 : trouvez votre positionnement (pas votre “passion”)

On entend souvent “suivez votre passion”… Oui, pourquoi pas. Mais si vous voulez en vivre, posez-vous plutôt la question :

À qui je m’adresse ? Et qu’est-ce que je peux lui apporter de concret ?

Positionnement = cible + promesse. C’est ça qui va vous différencier.

Par exemple, dire “je forme à la communication” = trop vague.
Dire “j’aide les ingénieurs à mieux pitcher leurs projets devant des décideurs” = là, on commence à parler.

Un bon test ? Essayez d’expliquer votre formation à un ami pas du tout dans le métier. S’il comprend en 30 secondes à qui ça sert et pourquoi, vous êtes sur la bonne voie.

Étape 3 : structurez une offre claire, pas un catalogue

Erreur classique : vouloir tout proposer d’un coup. Trois modules par ci, deux formats par là, un e-learning en chantier… Résultat : personne ne comprend ce que vous vendez.

Au début, visez une seule offre forte. Une formation de 1 ou 2 jours. Thématique bien définie. Objectifs clairs.

Et surtout, un programme béton. Pas juste une suite de “contenus”, mais une vraie progression. Avec des cas concrets, des exercices, et de la mise en pratique. C’est ce que les entreprises veulent aujourd’hui : du pragmatique.

Étape 4 : faites-vous connaître… autrement que sur LinkedIn

Oui, LinkedIn c’est utile. Mais non, ce n’est pas suffisant. Les prospects ne tombent pas du ciel. Et encore moins quand on débute.

Mon conseil ? Jouez la carte du réseau local. Présentez-vous dans les clubs d’entrepreneurs, les CCI, les associations professionnelles. Allez là où vos clients se trouvent, en vrai.

Autre levier puissant (mais trop sous-estimé) : les plateformes de mise en relation avec des organismes de formation. Elles prennent une commission, oui, mais elles vous amènent des missions. C’est un bon tremplin pour se lancer, surtout la première année.

Étape 5 : maîtrisez l’administratif avant qu’il vous bouffe

Personne ne vous le dit, mais l’administratif peut devenir un vrai cauchemar si vous n’anticipez pas. Et je pèse mes mots.

Inscription au registre des formateurs (numéro NDA), création d’un programme conforme, vérification des conditions de prise en charge OPCO… Il faut être carré.

Et depuis la réforme de la formation pro, le label Qualiopi est devenu quasi indispensable si vous voulez que vos formations soient finançables. C’est long, c’est chiant (pardon), mais c’est incontournable.

Perso, j’ai perdu 2 mois à bricoler mes documents avant de comprendre qu’il fallait tout structurer dès le début. Depuis, j’utilise un template béton pour chaque formation, avec objectifs, indicateurs, modalités. Ça change la vie.

Les pièges à éviter (et ils sont nombreux)

  • Se disperser trop vite : rester focus sur une seule offre jusqu’à ce qu’elle tourne.
  • Sous-estimer le commercial : il ne suffit pas d’être bon formateur, il faut apprendre à se vendre. Ou au moins, à se rendre visible.
  • Travailler sans contrat : toujours, toujours avoir une convention de formation. Même pour un ami.
  • Ignorer la veille : votre domaine évolue ? Votre contenu aussi. Sinon, vous devenez vite has-been.

Conclusion : c’est possible, mais pas à moitié

Devenir formateur indépendant, c’est un vrai choix de vie. Ce n’est pas un job plan B ou un “entre-deux” après un poste salarié. C’est un projet à structurer sérieusement, sinon ça ne tient pas plus de six mois.

Mais si vous êtes prêt à poser les bonnes bases, à tester, à ajuster, à vous former vous-même sur le chemin (et oui, le comble du formateur…), alors oui : ça peut devenir une aventure pro incroyablement enrichissante. Et rentable.

Alors, vous en êtes où ? Juste l’idée ? Ou déjà la tête dans le catalogue de l’OPCO ?

]]>
https://sportwebgolf.com/devenir-formateur-independant-les-vraies-etapes-les-pieges-a-eviter/feed/ 0